quarta-feira, 31 de dezembro de 2008

Réveillon em Copa

Contrariando as previsões, faz um lindo dia de sol aqui no Rio. Moro no Leme e desde cedo está o maior movimento, seguindo a rotina de todo réveillon, a saber: Logo cedo o reboque da prefeitura começa a tirar os carros da rua. Os vendedores de flores chegam sempre na véspera e é um tal de palma de Santa Rita, galho de arruda, rosa vermelha, branca, rosa ... e um buzinaço por vezes ensurdecedor. Aí já é por conta dos enlouquecidos guardas de trânsito, que precisam organizar a passagem da multidão e carros, com o mínimo de estrago possível. Ônibus que nunca vi antes passam pela minha rua, que é estreita e calma, contribuindo grandemente para o caos. O supermercado Zona Sul, faz juz ao nome. Parece o último dia de comida da terra. Todos compram tudo num frenesi contínuo e desarticulado. A padaria e o mercadinho Sampaio, normalmente ilhas de tranquilidade, parece que vão explodir a qualquer momento jorrando gente para todo lado. E os camelôs? Um caso a parte. Vendedores de branco de última hora: túnicas, vestidos, cuecas, camisetas com a estampa 2009 em prateado, arquinhos luminosos para o cabelo... tem de tudo, freguês...
A praia recebe barracas de camping, garrafas, flores e flores... Entrar para um mergulho é correr o risco de sair com uma rosa enfiada em algum lugar.
Ainda não começou o som oficial. São 15h30min. Só alguns tambores e cantos isolados. O povo animado aguarda 2009. Das esperanças, das realizações, da felicidade...

terça-feira, 30 de dezembro de 2008

Iluminadas!

Considero modelares e atualíssimas estas duas reflexões de Voltaire:

Perdoar aos nossos inimigos as suas virtudes - este sim é um grande milagre.

Para ter sucesso neste mundo não basta ser estúpido, é preciso também ter boas maneiras.

segunda-feira, 29 de dezembro de 2008

Le Clézio e Debussy


Acabei de ler o amigo oculto: uma tradução do Poisson d'Or do J. M.G Le Clézio, prêmio Nobel de Literatura 2008, feita por Maria Helena Rodrigues de Souza, publicado pela Companhia das Letras sob o título Peixe Dourado. Não é o melhor livro que já li, mas sem dúvida é uma leitura que recomendo. Abaixo, posto o Poisson d'Or de outro francês, mais do que recomendável, Claude Debussy, na bela apresentação de Spencer Myer. De forma curiosamente mágica, a intensidade dramática do texto de Le Clézio se cruza com a musicalidade de Debussy. É ler, ouvir e conferir.


segunda-feira, 22 de dezembro de 2008

Sarkozy e a ortografia

O presidente Sarkozy está aqui no Rio. Seria curioso saber o que ele pensa da possibilidade de uma reforma ortográfica do francês, como cogitam alguns por lá. Ao que parece, não somos só nós que estamos nos vendo às voltas com a reforma ortográfica. Essa questão está em pauta na França e estas duas matérias, publicadas no Le Monde, mostram o nivel de inquietação de alguns franceses com esse problema. Voilà!

Orthographe, tu me tues, et tu meurs avec moi
par Nicolas Germain, Webmaster
08.12.08
Lyon, un lycée, rencontre des parents avec les professeurs. Les enseignants se succèdent en ordre parfait, les sciences dures d'abord, priorité de l'éducation nationale depuis quelques décennies, les molles ensuite, puis les disciplines d'éveil enfin, je veux dire le français et les langues. Pourtant, chaque nouvelle intervention enfonce un peu plus l'assistance dans la torpeur. Ça ne ronfle pas encore, mais ça devrait à force de discours usés, peu mieux faire, classe agréable mais peu travailleuse, faut se ressaisir... Soudain, un mot tinte à l'oreille de l'assemblée : orthographe. Je ne sais plus qui l'a prononcé, un parent, un prof, peu importe, les deux mondes parlent à l'unisson et se serrent la main au moindre poncif à reluire. Et voilà que la classe toute sage s'anime drôlement.

Les accusations fusent, halte aux textos, mort aux jeux vidéo, la faute à la société de l'image. Les index menaçants voltigent et battent la mesure d'une discussion devenue vive au son du clairon. Voilà papa, maman et le prof au garde-à-vous devant l'orthographe, le Bescherelle de la conjugaison sous la main en place de bible. Au loin le canon tonne, c'est la guerre, les règles de grammaire et leurs cohortes d'exceptions prêtes à envahir le cerveau de nos chers enfants. L'heure est grave, ils ne savent plus écrire.

J'ignore si le mot orthographe déclenche le même effet chez les anglais, ou les espagnols. Un ami brésilien me dit un jour : "Vous les français, quand on vous demande un renseignement dans la rue, vous commencez par corriger la question avant de répondre." Oui, je crois aussi que les français ont une relation douloureuse avec leur langue et son orthographe. Il faut bien dire que cette dernière n'a pas évolué, à quelques réformettes près, depuis le début du XIXème siècle. Notre orthographe est celle de Victor Hugo.

Nous pourrions nous en enorgueillir. Seulement, est-il acceptable qu'une société fige ainsi la forme écrite de sa langue alors que sa forme orale s'adapte comme il convient au fil du temps ? D'autant que ces dernières années, l'Internet a réhabilité l'usage de l'écrit que l'on croyait dépassé par la télévision et le téléphone. De nos jours, n'importe quel adolescent tient son blog, participe à des forums de discussion, ou chatte. L'ado moderne écrit plus qu'il ne parle.
Les conservatismes sont féroces. Le Petit Robert, dictionnaire qu'on ne présente plus, entretient le scandale par son édition 2009, laquelle propose deux orthographes différentes de mots pourtant réformés depuis 1990. Le combat pour une orthographe conservée dans la naphtaline n'est donc pas - seulement - un combat anti-ado.

À la complexité de l'orthographe française, ou plutôt son absence d'homogénéité, se rajoute un manque chronique de temps à son (ré-)apprentissage. Beaucoup de gens renoncent à utiliser un mode, un temps ou un mot ne sachant pas ou plus l'écrire, et par crainte de la faute d'orthographe, désastreuse, capable à elle seule de transformer une prose limpide en torrent de boue.

Heureusement, les ados d'aujourd'hui se montrent moins complexés que leurs aînés, une chance pour notre langue. Les textos, par leur nécessaire concision rendent un service inestimable à notre société. L'usage du texto dépénalise l'usage du français. Rien de moins. Naturellement, les messages véhiculés ainsi ne dépassent pas le stade du grognement préhistorique. Soit. Il s'agit d'une ouverture, d'une prise de conscience, d'un début ouvert sur des horizons moins culpabilisateurs.

Je milite pour une réforme rapide et profonde de l'orthographe. Car l'orthographe, celle-là même qui n'existe plus et que nous apprenons encore, nous fait du mal et nous tue. Le français s'enrobe peu à peu d'une cire mortifère. À ne pas l'admettre, nous finirons tous au musée Grévin. Dans quelle langue seront rédigées les notices?

Les français : insouciants meurtriers de leur langue
par Vincent Métivier, Etudiant

10.12.08
Je souhaite réagir à la chronique de M. Nicolas Germain, publiée le 08/12/08 et intitulée "Orthographe, tu me tues, et tu meurs avec moi". L'opinion qu'il exprime me paraît révélatrice d’une tendance générale à la glorification d’une pseudo évolution de la langue française, encourageant ainsi son inexorable appauvrissement. "Appauvrissement", le mot est faible, "dégénérescence" voire "agonie" seraient plus justes, tant les phénomènes qui concourent à sa ruine - avec succès - ont des effets violents.
Il faut d’abord remarquer la perte complète et effective d’intérêt de la part de la population française pour sa langue, et si des résistances "conservatrices" arrivent encore aujourd’hui à faire entendre leur voix, elles n’émanent que d’une minorité relativement élitiste, attachée à la préservation d’un bien culturel fondamental. Ce mouvement de reniement se retrouve jusque dans les hautes instances de l’Etat, puisque la politique menée depuis 20 ans sur ce sujet, par les gouvernements de droite comme de gauche, ne fait que soutenir le dépeçage du français.
N’est-ce pas l’Etat qui mit en place cette monstrueuse réforme de l’orthographe– à la manière allemande – en 1990 ?
Le dessin ironique de Plantu paru en Une du Monde à l’époque, est particulièrement représentatif de l’absurdité de cette réforme : on y voit François Mitterrand en haut d’un précipice clamer à un groupe d’Africains en contrebas "à abîme, il n’y a plus d’accent circonflexe !", et ceux-ci de répondre "Ah ! Enfin", comme si tout le monde avait pour préoccupation essentielle le changement d’orthographe du mot "abîme".
N’est-ce pas aussi l’Education nationale qui grignote un peu plus chaque année les heures des cours fondamentaux, tels que le français ou l’histoire, pour permettre d’accroître les plages horaires des cours de langues étrangères, dont l’enseignement connaît en France un échec cuisant ? Pensez d’ailleurs qu’un bachelier ayant pour première langue l’anglais, n’est toujours pas bilingue au bout de 7 ans d’apprentissage !
Ainsi, tous ces écoliers pour qui l’apprentissage du Français se restreint, viendront alimenter la masse déjà importante d’étudiants et de cadres incapables de rédiger une dissertation ou une lettre de motivation sans fautes d’orthographes. Que dire de notre société de communication qui, pour des raisons de rapidité, pousse les "têtes blondes" à l’écriture phonétique ? Les textos sont l’illustration parfaite de l’émancipation anarchique actuelle vis-à-vis des règles orthographiques et grammaticales, jugées trop strictes, trop rigides, et finalement inutiles.Que dire également du rouleau compresseur que constitue l’anglais mondialisé pour notre petite langue (dont le nombre de locuteurs se réduit chaque jour) ?
Face à ce déferlement d'uniformisation, la réforme de 1990 à sans conteste un objectif simplificateur (sans rien clarifier), pour éliminer les éléments orthographiques hors du commun, et pour tenter de franciser plusieurs mots anglophones.Finalement, la pauvreté et la léthargie d’une langue se mesurent à son incapacité à former de nouveaux mots, et à la quantité de ses emprunts aux vocables étrangers. Edgar Poe n’était-il pas obligé à la fin du XIXe siècle d’utiliser bon nombre de mots et expressions français pour exprimer sa pensée de manière concise ? On ne devrait donc pas être fier aujourd’hui d’écrire le Français de la même façon que Voltaire ou Victor Hugo ? Il faudrait faire fi de l’héritage historique incarné par les accents circonflexes, les cédilles, et autres bizarreries orthographiques.
Mettons alors directement l’étymologie et les étymologistes au bûcher !Les individus du XXIe siècle sont-ils trop paresseux pour apprendre quelques règles, comme l’on fait avant eux tant de générations d’écoliers ? Sous les prétextes fallacieux de la complexité et de l’archaïsme, il faudrait ainsi rogner chaque mot. Non, on ne peut l’accepter, la langue française doit être vivante mais doit rester dans ses cadres raisonnables. Je me gausse de tous ces anglicismes, qui par un effet de mode (je n’ose dire de soumission) sont mis en avant haut et fort. Je m’insurge contre les petits massacres quotidiens et volontaires de notre langue qui n’ont en définitve aucun intérêt. Je m’alarme de la lente déperdition d’un savoir ayant obtenu un statut officiel en 1539 et qui fut codifié un siècle plus tard.
Qu’on me qualifie de conservateur si l’on veut, je continuerais d’écrire "abîme" et "paraître" avec un accent circonflexe ; "réglementaire" avec un accent aigu ; "amoncellement" avec deux "l" et "porte-monnaie" avec un tiret ; même si désormais, pour tous les mots que je viens de citer, il est conseillé d’observer la nouvelle, absurde, et artificielle orthographe de la réforme de 1990.
Tout cela me donne de l'eczéma, mais non, pardon, il faut maintenant écrire "exéma" ! Faut-il alors en rire ou en pleurer ?

domingo, 21 de dezembro de 2008

Cumplicidade


Soneto de Natal

Um homem, — era aquela noite amiga,
Noite cristã, berço no Nazareno, —
Ao relembrar os dias de pequeno,
E a viva dança, e a lépida cantiga,

Quis transportar ao verso doce e ameno
As sensações da sua idade antiga,
Naquela mesma velha noite amiga,
Noite cristã, berço do Nazareno.

Escolheu o soneto... A folha branca
Pede-lhe a inspiração; mas, frouxa e manca,
A pena não acode ao gesto seu.

E, em vão lutando contra o metro adverso,
Só lhe saiu este pequeno verso:
"Mudaria o Natal ou mudei eu?"

Machado de Assis

quinta-feira, 18 de dezembro de 2008

O insólito na narrativa ficcional

De 23 a 25 de março de 2009, no Instituto de Letras da UERJ, haverá o V Painel "Reflexões sobre o Insólito na narrativa ficcional: o insólito em questão" e o I Encontro Nacional do Insólito como Questão na Narrativa Ficcional.

Refletir sobre o insólito na narrativa ficcional implica, antes de tudo, encarar o insólito como questão que se coloca e recoloca a cada passo dado no percurso reflexivo que se empreende. Põe-se em questão, primeiramente, o próprio termo enquanto signo, lingüístico ou semiológico. Põe-se em questão, ainda, se o nomeado por insólito estaria no nível dos temas ou das estratégias de construção narrativa. Põe-se em questão o caráter próprio do insólito na narrativa ficcional, visto ora como gênero ora como uma de suas categorias constitutivas. Põe-se em questão, mesmo e definitivamente, quando se reflete sobre o insólito na narrativa ficcional, os conceitos de real, realidade; de verdade, verdadeiro; de ficcional, factual; de mimeses; de verossimilhança... Enfim, a manifestação poética e/ou estética do insólito na narrativa ficcional é a questão sobre a qual se pretende refletir mais detida e aprofundadamente.
SEPEL-UERJ Seminário Permanente de Estudos Literários http://www.sepel.uerj.br/

domingo, 14 de dezembro de 2008

Beirut sem Capitu ou Saramago

No espaço da intertextualidade, posto este belo video.



Elephant gun

If I was young, I'd flee this town
I'd bury my dreams underground
As did I, we drink to die, we drink tonight

Far from home, elephant gun
Let's take them down one by one
We'll lay it down, it's not been found, it's not around

Let the seasons begin - it rolls right on
Let the seasons begin - take the big king down

Let the seasons begin - it rolls right on
Let the seasons begin - take the big king down

And it rips through the silence of our camp at night
And it rips through the night

And it rips through the silence of our camp at night
And it rips through the silence, all that is left is all that i hide

segunda-feira, 8 de dezembro de 2008

Patrick Charaudeau na UERJ

Dia 10 de dezembro, quarta-feira, às 15h, Patrick Charaudeau fará uma conferência sobre o tema “Sujeitos da enunciação e modos de organização do discurso”, no Salão Nobre (sala 11.127-F, perto da Secretaria da Pós).

sábado, 6 de dezembro de 2008

Horta caseira


Sou adepta da Agricultura Natural e ontem assisti a uma excelente palestra sobre horta caseira seguida de uma aula prática de como fazê-la. É bem simples e descomplicado, como eu gosto. Em um recipiente, no meu caso uma espécie de cantoneira de plástico com pequenos furos na base (foto acima), coloca-se uma camada de pedrinhas (espécie de cascalho) e, sobre ela, uma camada de capim seco. Sobre a camada de capim, coloca-se terra vegetal (que é vendida em casas de plantas e não tem adubos químicos) e vai-se preenchendo, sem comprimi-la, para que fique soltinha, até faltar aproximadamente um centímetro da borda. Feito isso, enfiamos dois dedos, formando uma pequena cavidade, onde será plantada a muda. No meu caso, de rúcula e salsa. Por último, cobre-se com uma camada de capim seco e está pronto. É necessário que fique num lugar da casa onde possa apanhar sol durante algum tempo e, quando necessário, molhar. A forma de saber se está na hora de molhar é verificar, tocando levemente os dedos na terra, se perdeu a umidade. Ela tem de estar sempre fofa e úmida.

Há um prédio em São Paulo cujo telhado está sendo utilizado pelos moradores como horta caseira. Fizeram canteiros em cantoneiras de cimento e lá cultivam as hortaliças para os condôminos. Moro em apartamento e minha hortinha caseira ficará na área de serviço. Minha amiga Cristina Biazetto reside em Porto Alegre, numa casa, e fez canteiros externos, onde tem sua horta caseira. Em agosto, quando fui para Charqueadas participar de uma feira de cultura, ganhei uma muda de sálvia. Deixei-a com a Cris, que a plantou na horta dela. Aliás, na casa da Cris há os maiores limões-galegos que já vi na minha vida: enormes e lindos. Ela me contou que tinha dado praga no pé de limão e ela, que é adepta da agricultura natural e, portanto, jamais utilizaria qualquer "antipraga" químico, só viu uma solução: arregaçar as mangas e lavar cada folha do limoeiro, tirando com as mãos as pragas. O resultado não tardou e o limoeiro respondeu com todo o esplendor que pude constatar.

Minha relação com a terra sempre foi muito forte. Em 1986, escrevi uma peça teatral infantil, Viva o Reino da Terra, ganhadora do Prêmio "Alice da Silva Lima" de Teatro Infantil, baseada nesses princípios. Ano passado, tive a oportunidade de visitar em Angola, na província de Bom Jesus, um pólo de Agricultura Natural criado num terreno seco e difícil. Lá, pude saborear alimentos naturais deliciosos advindos desse solo, o que seria, à primeira vista, impossível. Alías, há em Luanda um movimento forte de difusão do hábito da horta caseira. O texto e o vídeo abaixo são uma modesta contribuição para divulgação desses princípios.

Princípio da Agricultura Natural

O princípio da agricultura natural consiste em fazer com que o solo manifeste a sua grande força.

1-Não usamos esterco ou fertilizantes químicos, mas exclusivamente composto vegetal, razão pela qual damos o nome de agricultura natural ao nosso método. De fato, o material desse composto - folhas e ervas secas - forma-se naturalmente. Ao contrário, quer os fertilizantes químicos, quer o estrume de origem humana ou animal, como o de cavalo ou galinha, a farinha de peixe e as cinzas vegetais, por exemplo, que não caem do céu nem tão pouco brotam do seio da terra: são levados ao solo pela ação do homem. Escusado notar que se trata duma prática antinatural.

2-Não há uma única existência na Criação que não seja bafejada pela Natureza. Todas as coisas geram-se e são criadas mercê da tríade elemental fogo, água e terra. Numa linguagem científica, referimo-nos ao oxigénio do fogo, o hidrogénio da água e o nitrogénio da terra, imprescindíveis para qualquer tipo de cultura agrícola.

3-Uma vez que o homem ignorou os princípios da Natureza, recorrendo única e exclusivamente aos adubos artificiais, somos obrigados a admitir ser óbvio que ele padeça com a falta de alimentos. É a paga, digamos, pela sua cegueira para com as leis naturais. Some-se a ela o papel agravante exercido por certas teorias científicas, para termos a atual época de crise alimentar. Dessa ótica, a agricultura contemporânea constitui não um avanço, mas um retrocesso.

4-O método de cultivo natural que advogo tem por fundamento o princípio acima. Dependendo da sua prática, a exaustão e depauperamento de que é vítima o agricultor, devido à atual carência alimentar, também se solucionarão sem dificuldade.Como mencionei há pouco, a tríade elemental fogo, água e terra é a força motriz para o crescimento das culturas. Assim, é infalível a obtenção de resultados jamais vistos ao se assegurar uma boa insolação, o fornecimento suficiente de água e o cultivo numa terra pura. Um dia - não sei precisar quando - o homem fez um tremendo disparate: usou adubos. É que ele era completamente ignorante da natureza da terra. (Mokiti Okada, 5 de Maio de 1953)


quarta-feira, 3 de dezembro de 2008

Até dia 20!

Minha gente, é só para lembrar que até dia 20/12 é possível pegar nos Correios uma das milhares de cartinhas de crianças e atender ao chamado do sonho.
Basta ir até uma agência, escolher uma carta e levar o presente. Os Correios se encarregam de fazer a entrega.

segunda-feira, 1 de dezembro de 2008

Patrick Charaudeau na UFRJ

Patrick Charaudeau, analista do discurso da Universidade Paris XIII, cuja teoria sigo em minha tese de doutorado, O Contrato de Comunicação da Literatura Infantil e Juvenil, Ed. Nova Fronteira, estará no Rio de Janeiro, para um encontro, no dia 08 de dezembro, às 10h30, no Auditório E3 da Faculdade de Letras da UFRJ. Vem a convite do CIAD/UFRJ (Círculo Interdisciplinar de Análise do Discurso), do qual sou pesquisadora. O CIAD é ligado ao CAD (Centre d'Analyse du Discours) da Universidade Paris XIII. Entrada franca.